Lovée au coeur de ses remparts, la capitale de la chrétienté au Moyen Âge vous attend, avec le majestueux Palais des Papes, mais aussi avec le charme de ses rues.
Médicis
Yannick Haenel. Tiens ferme ta couronne (Gallimard)
Yannick Haenel a le Médicis, prix littéraire s'il en est. Tiens ferme ta couronne est un grand roman inspiré, à la fois habité par le feu sacré de la littérature, et porté par l'amour du cinéma. C'est l'histoire d'un scénario impossible sur la vie de l'auteur de Moby Dick : The Great Melville. Le narrateur se rend à New York pour rencontrer Michael Cimino, dîne à Paris avec Isabelle Huppert, a droit à une visite particulière du Musée de la chasse... A aligner les péripéties de cette folle équipée, on risquerait de ne pas rendre justice à l'écrivain. Dans une époque qui préfère souvent s'embusquer derrière l'ironie, il est le dernier des romantiques. (Libération)
Décembre
Grégoire Bouillier. Le Dossier M (Flammarion)
Le Prix Décembre 2017 a été décerné à Grégoire Bouillier pour son roman Le Dossier M, publié par les éditions Flammarion en août dernier. Le quatrième livre de cet auteur français né en 1960 en Algérie est une fresque de 900 pages organisée autour d'une histoire d'amour, tout simplement. Une deuxième partie est d'ailleurs attendue... (ActuaLitté)
Interallié
Jean-René Van der Plaetsen. La Nostalgie de l’honneur (Grasset)
Un livre de souvenirs personnels et de réflexions inspiré par la vie de son grand-père maternel, compagnon de la Libération, Jean-Crépin. Le romancier retrace le destin de son grand-père, gaulliste de la première heure, héros de Bir Hakeim, et compagnon du maréchal Leclerc pendant la bataille pour la libération de la France, avant d’être commandant en chef en Algérie puis président de l’Aérospatiale.
Au-delà de Jean Crépin, l’essai parle de ces officiers français qui, après la seconde guerre mondiale, sont partis combattre ceux qui réclamaient leur indépendance en Indochine et en Algérie.
Goncourt des Lycéens
Alice Zeniter. L'art de perdre (Flammarion)
La finaliste malheureuse du Goncourt, du Femina et de l'Interalliè, âgée de 31 ans, a été choisie au troisième tour par le jury réuni à Rennes. Cinquième roman d'Alice Zeniter, "L'art de perdre" avait déjà été récompensé par le prix littéraire du journal Le Monde, le prix des libraires de Nancy et le prix Landerneau des lecteurs.
"L’Algérie dont est originaire sa famille n’a longtemps été pour Naïma qu’une toile de fond sans grand intérêt. Pourtant, dans une société française traversée par les questions identitaires, tout semble vouloir la renvoyer à ses origines.Mais quel lien pourrait-elle avoir avec une histoire familiale qui jamais ne lui a été racontée ?" (Fnac)
Daniel Rondeau. Mécaniques du chaos (Grasset)
Daniel Rondeau croit au pouvoir des mots. Sa fresque crépusculaire et polyphonique brasse l'histoire et l'actualité, interrogeant les dérèglements de notre société. (Le Figaro)
Goncourt
Éric Vuillard. L'ordre du jour (Actes Sud)
Récit historique, «L'Ordre du jour» raconte les coulisses de l’Anschluss -l'annexion de l'Autriche par l'Allemagne nazie. Avec son style acéré, le romancier détaille comment les élites corrompues poussent peu à peu la société tout entière à épouser des thèses fascistes. (Paris Match)
Renaudot
Olivier Guez. La disparition de Josef Mengele (Grasset)
La disparition de Josef Mengele est une plongée au coeur des ténèbres. Anciens nazis, agents du Mossad, femmes cupides et dictateurs d'opérette évoluent dans un monde corrompu par le fanatisme, la realpolitik, l'argent et l'ambition. Voici l'odyssée dantesque de Josef Mengele en Amérique du Sud. Le roman-vrai de sa cavale après-guerre. (Babelio)
Femina
Philippe Jaenada. La serpe (Julliard)
Jamais le mystère du triple assassinat du château d'Escoire ne sera élucidé, laissant planer autour d'Henri Girard, jusqu'à la fin de sa vie (qui fut complexe, bouillonnante, exemplaire à bien des égards), un halo noir et sulfureux. Jamais, jusqu'à ce qu'un écrivain têtu et minutieux s'en mêle...
Un fait divers aussi diabolique, un personnage aussi ambigu qu'Henri Girard ne pouvaient laisser Philippe Jaenada indifférent. Enfilant le costume de l'inspecteur amateur (complètement loufoque, mais plus sagace qu'il n'y paraît), il s'est plongé dans les archives, a reconstitué l'enquête et déniché les indices les plus ténus pour nous livrer ce récit haletant dont l'issue pourrait bien résoudre une énigme vieille de soixante-quinze ans. (Julliard)
Pour la troisième année d'affilée, notre école a eu la joie d'accueillir ces deux extraordinaires musiciens. Un parcours à travers la chanson française, de Montand à Ridan, de Trénet à Stanislas, de Piaf à Nougaro ... Le tout avec la voix et la guitare d'Ernesto et la contrebasse de Coco. Un appareil simple mais très efficace, surtout quand le savoir-faire, l'humour et la bonhomie sont de la partie.
Mais laissons plutôt la parole à une spectatrice, Rosa Martín:
Ce jeudi il y avait un concert de chanson française à l´école.
J´aime la musique, mais je pensais qu'un concert de musique française serait un peu ennuyeux (surtout parce que je connais très peu de français) Mais quelle grande surprise!!!... C'était un concert très amusant et émouvant (fantastique l'interprétation de l´Hymne à l'amour d´Edith Piaf) Coco et Ernesto sont des musiciens extraordinaires. La voix d'Ernesto arrive jusqu'à l´âme et les deux sont des gens très sympathiques qui nous ont fait passer une très agréable soirée. Et un concert comme celui-ci, ne pouvait pas finir autrement qu'avec notre professeur Paco chantant la dernière chanson avec le duo. Fantastique!!!
Décédé le 9 octobre, avec Jean Rochefort c'est un autre grand nom du cinéma français qui disparaît.
À l'instar de ses amis Philippe Noiret ou Jean-Pierre Marielle, Rochefort s'est imposé sur le tard: ce n'est qu'à quarante ans qu'il tourne son premier grand succès Que la fête commence, de Bertrand Tavernier.
Depuis, il a tourné dans 150 films, dont de célèbres comédies, comme Un éléphant ça trompe énormément ou Le grand blond avec une chaussure noire de Yves Robert, mais aussi des films d'auteur tel Le mari de la coiffeuse, de Patrice Leconte. C'est justement ce dernier film, devenu culte en Espagne grâce au bouche à oreille, qui l'a rendu célèbre dans notre pays.
Soyez les bienvenus pour reprendre avec entrain l'apprentissage du français!
Cette année, le ministère de l'Éducation souhaitait une rentrée en musique. À l'école, nous ne manquerons pas de vous proposer de la musique, du ciné, des conférences ...
Pour mettre de l'ambiance, nous vous laissons ici un article qui nous explique des mots français n'ayant pas d'équivalent en anglais. Sauriez-vous trouver des traductions en espagnol? Oui?
Chiche!
Le Gorafi (anagramme de Le Figaro) est un site de fausses informations. Très célèbre en France, il est pratiquement inconnu à l'étranger, ce qui a souvent provoqué des situations hilarantes, comme lorsque la presse italienne a pris au sérieux cette information.
Fini le deuxième tour de la présidentielle, nous avons décidé de vous montrer quelques-uns des articles publiés après le scrutin, qu'ils soient consacrés aux deux derniers candidats:
Ou aux autres:
Ce dernier article nous annonce que les législatives, c'est pour bientôt (11 et 18 juin). Le Gorafi ne manquera pas de nous tenir informés.
Après une éreintante campagne électorale, aujourd'hui a eu lieu le deuxième tour de la présidentielle 2017. Mais nous n'allons pas en parler: c'est avec un soupir de soulagement que nous avons le plaisir de publier quelques-unes des images prises par nos collègues lors du voyage à Toulouse.
La Basilique Saint-Sernin.
L'Hôtel d'Assézat.
Le Canal du Midi.
Les voyageurs, reconnaissables à leurs sacs à dos.
La Cité de l'Espace.
Un joueur d'orgue de Barbarie, Place du Capitole.
N'oublions pas que c'était la Fête du Travail!
Et que le 1er mai c'est également la fête du Muguet.
Finalement, pour reprendre des forces ...
Toute suggestion, collaboration, tout commentaire sont les bienvenus!!
Nous tenons à souhaiter un très bon voyage et bon séjour au groupe d'élèves et professeurs qui se lèveront tôt pour parcourir les 400 kilomètres qui nous séparent de Toulouse, la ville rose.
Nos bourlingueurs y visiteront la cité de l'espace
et le canal du Midi
Nous remercions nos deux chères collègues de leur dévouement qui permet à notre école d'offrir à ses élèves de bons moments de découverte et de divertissement.
Amusez-vous bien tous et rapportez de beaux souvenirs. Nous avons hâte de les écouter!