Un film français à l'affiche:
Après un début à la manière de Jean-Pierre Jeunet ...
... une réunion de famille où les dialogues sont rythmés par l’humour, mais une grosse blague prise au sérieux fait tout dégénérer… Patrick Bruel, dans le rôle de l’homme d’affaires friqué qui roule en Mercedes et qui vote à droite (Vincent), se confronte à Charles Berling, l’intellectuel bobo de gauche (Pierre), marié à une professeur de collège un poil hystérique (Elisabeth). Participe également au dîner un 4e individu (Claude), tromboniste dans l’orchestre de Radio France, ami d’enfance des trois autres, et dont la personnalité efféminée jette le flou sur son orientation sexuelle.
On se taquine, les blagues fusent dans une atmosphère légère et bon enfant, jusqu’au moment où Vincent révèle le prénom que lui et sa femme ont décidé de donner à leur fils. Changement d’ambiance radical, tout devient d’une gravité extraordinaire, l’intello gauchiste crie au scandale, les autres demeurent bouche-bée d’incrédulité, mais Vincent, d’un stoïcisme implacable, campe sur sa position et tente de justifier son choix
Richard Holding, Musique et cinéma
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