Composée à des fins plutôt expérimentales, cette musique de ballet, dont l'auteur disait "Je n'ai écrit qu'un seul chef-d'oeuvre, malheureusement il ne contient pas de musique" tire sa force des effets d'orchestration et d'un crescendo qui reste sans doute le plus célèbre du monde.
« On a coutume de dire qu’une exécution du Boléro commence toutes les dix minutes dans le monde. Puisque l’œuvre dure dix-sept minutes, elle est donc jouée à tout moment quelque part », explique Laurent Petitgirard, compositeur et président de la Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique (Sacem). « Et on peut penser qu’on va l’entendre encore plus à présent, dans des publicités ou dans des films. »
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